dimanche 22 novembre 2009

Blog Monboulognebillancourt : vidéo exclusive de Jean-Paul Huchon !

A voir sur mon blog : le discours de Jean-Paul Huchon pour la campagne des régionales IDF 2010.

http://monboulognebillancourt.blogspot.com/2009/11/exclusif-discours-de-jean-paul-huchon.html

La "crise" n'existe pas ! on s'est fait avoir !



- La crise n'existe pas.

- Ah bon ?

- Non

- Ben alors pourquoi le chomage, la dette, etc...?!

- C'est un système organisé et non transparent de maintien des élites dans la captation des bénéfices capitalistes. Le déficit est maintenu artificiellement. Il y a trop d'intérêts en jeu; il faut ponctionner le bas peuple ignorant et docile.

Le trou de la sécu ? un aspirateur à cash pour quelques firmes puissantes.

Le budget de l'armée ? une pompe à dollars pour des lobbies militaro-industriels (cf. Eisenower)
etc...

- Quoi ?

- Et oui mon vieux, tu t'es fait avoir. Le revenu soutenable pour tous est possible mais il ne faut surtout pas que cela se sache...

Des exemples ? ils sont innombrables quand se donne la peine de chercher sérieusement.

- Les dessous édifiants de l'affaire Madoff (voir article)

ou encore
- Le "déficite de la sécu" et l'industrie Pharmaceutique.

Celle ci, comme les autres industries, a placé au bon endroit les décideurs qui maintiennent une rentabilité maximale de leur activité. Des preuves ?

Le site Phamacritique en donne : parfois sans nuances...

Roselyne Bachelot a passé au moins 12 ans au service de l'industrie pharmaceutique. Source de conflits d'intérêts, par exemple dans la vaccination massive contre la grippe A H1N1?

Les médicaments estimés efficaces et censés réduire nettement le taux de mortalité ont en fait un bénéfice largement surévalué. Donc un nombre potentiellement important de patients sont traités par des moyens qui ne sont pas plus efficaces que l’absence de traitement ou les méthodes moins invasives.

La technique utilisée ? :

Des "Médecins sous influence" pharmaceutique propagent les biais et la désinformation comme jadis la fièvre puerpérale, nous dit Peter R. Mansfield

La presse médicale ? instrumentalisée !  (voir "there’s no free lunch")

Les vaccins comme la grippe A : une aubaine.

Extrait : "Cette grippe bénigne qui tend à remplacer celle saisonnière devrait provoquer un décès pour 100.000 personnes, estime Marc Girard. Alors qu’on peut s’attendre à ce que près de 60.000 personnes développent des effets secondaires (plus ou moins graves) à cause des… vaccins."

Le mobile de cette malversation ? la cupidité.

"Plan Alzheimer et conflits d'intérêts: les Sarkozy, Sanofi, recherche publique, franchises médicales... Les deniers publics feront les profits privés"


Pour aller plus loin : voir le film de Michael Moore "Capitalism : a love story" .

Ou comment un "coup d'état financier" vient de spolier massivement les peuples.

Depuis 20 à 30 ans, la finance joue un role déterminant dans la politique. Ce n'était encore pas le cas dans les années 50. Du coup, ils peuvent déformer le système à leur profit, jusqu'à implosion. Et c'est le contribuable qui éponge les pertes pour relancer le système.

Téléthon, une merveilleuse solidarité qui cache une scandaleuse escrocrie

Comme l'explique assez bien cet article
alors que le progrès tout puissant continue à faire illusion, le téléthon prend en otage la sensibilité des téléspectateurs pour leur soutirer de l'argent, que d'autres gachent librement alors que d'autres priorités attendent.

Pierre Berger s'en émeut.


Plus grave, on dépense cent pour guérir, alors qu'il vaudrait mieux dépenser dix pour prévenir...

Substances toxiques (lenteur du plan REACH), conduites délétère (conflits, violence, double contrainte), pollution généralisée, excès en tout genre, chimie à outrance, on ne compte plus les dérives de notre civilisation moderne.

Hypocrisie des élites, bétise des masses, on marche sur la tête.

dimanche 15 novembre 2009

Georges Bataille, peut être le seul qui aurait pu conjurer le nazisme...

Pour finir sur René Girard :
Voir le site : "C'est pour expulser la vérité au sujet de la violence qu'on se confie à la violence."



La transition est aisée entre René Girard et Georges Bataille (sacrifice, violence)


Ce qui est marquant, c'est que c'est le seul, avec Wilhelm Reich, à avoir non seulement détecté la montée du fascisme national-socialiste, mais surtout d'en avoir théorisé la déconstruction possible.

D'après ma compréhension héritée de la belle émission de France Culture, il rappelle avec lucidité et exigence que tout acte politique porte en lui un risque permanent fasciste, comme captation potentielle de la liberté de l'autre, par l'instrumentalisation du mythe et des émotions idéologiques de progrès.




Citations :

«Ce qui, le plus violemment, nous révolte, est en nous."

«L'angoisse suppose le désir de communiquer.»


«Le génie abaisse davantage qu'il n'élève ; l'idée du génie empêche d'être simple, engage à montrer l'essentiel, à dissimuler ce qui décevrait : il n'est pas de génie concevable sans art.»



"Qui ne "meurt" pas de n'être qu'un homme ne sera jamais qu'un homme".


extrait en Video

René Girard, ou comprendre la violence

Guerre ou anorexie, René Girard perce à jour la mécanique passionnante de la violence, et du mimétisme.


A l'heure du désaroi face à l'anorexie, volonté mimétique de toute puissance / violence sur soit même,

à l'heure de la dissuasion nucléaire, folie pathologique de toute-puissance / violence sur les autres,

il convient de comprendre les sous bassement de la violence pour mieux la désamorcer.


1) Clausewitz et la guerre d'abord :


"Son livre inachevé, qui ressemble à un unique grand chapitre, définit les rapports des deux "partenaires" dans une guerre. Il introduit ainsi une rupture radicale dans la conception des rapports humains : la violence, dans ces rapports, n’appartient pas à tel ou tel individu mais elle se situe entre les individus.

Lesquels individus passent leur vie à échanger, l’échange jouant un rôle essentiel dans les rapports humains. Mais cet échange ne se fait pas de manière mécanique, comme des boules de billard, il exige une interprétation de la part de l’un et de l’autre, et l’interprétation de chacun est différente.

Et souvent, se glissent entre eux des malentendus. Il en va de même au niveau des états : l’échange exige toujours une diplomatie pour surmonter ces malentendus."



2) L'anorexie mentale ensuite,


"Pourquoi l'anorexie frappe-t-elle certaines femmes plus que d'autres ? Les individus sont plus ou moins rivalitaires, il n'en va pas autrement dans le cas de la minceur que dans d'autres domaines.


Les femmes anorexiques veulent être championnes de leur catégorie. C'est pareil dans le monde de la finance. La différence, c'est que le désir d'être plus riche que les autres n'apparaît pas comme pathologique. Par contre, le désir d'être plus mince, s'il est poussé à l'extrême, a des effets funestes visibles sur le plan physique. Mais une fois qu'une fille est anorexique, cela signifie qu'elle a choisi ce domaine de concurrence, et il est difficile d'abandonner avant la victoire, ce serait renoncer au championnat.

Le résultat final est tragique dans les cas extrêmes, mais cela ne doit pas nous faire perdre de vue le fait que l'obsession de la minceur caractérise toute notre culture, ce n'est nullement quelque chose qui distingue ces jeunes filles. L'impératif qui pousse ces femmes à se laisser mourir de faim vient de toute la société. C'est un impératif unanime. De ce point de vue, donc, c'est organisé comme un sacrifice.

Et le fait qu'il soit inconscient montre, de manière assez effrayante, qu'il y a une espèce de retour à l'archaïsme dans notre monde. "
 
 
 
Plus de détail sur Deux clés scandaleuses offertes par René Girard

"La violence et le sacré" de René Girard, ou comment remédier au suicide



Découvrir René Girard, une nécessité ?

Le suicide est 2 fois plus élevé en France sans qu'on puisse se l'expliquer !

Alors allons rechercher des pistes ... :


Outre la compétition délétère qu'engendre le capitaliste libéral,
et le manque d'insouciance / indulgence de notre société occidentale, il faut rechercher dans l'analyse systémique de la rivalité affective et de la frustration narcissique :

A lire :
http://home.nordnet.fr/~jpkornobis/TextesGirard1.htm


"La fréquence des passages à l'acte suicidaires, aboutis ou non, est particulièrement préoccupante en France. Cependant, la politique de prévention actuelle n'a pas permis de diminuer le nombre de passages à l'acte, ni d'en augmenter la détection précoce. [...] L'étude du passage à l'acte suicidaire dans un contexte micro social permet de faire l'hypothèse que le passage à l'acte a une fonction, supportée par un patient incapable de trouver une solution alternative dans un contexte d'indifférenciation affective. L'analyse des travaux systémiques de Louis Everstine , soulignant la colère comme mécanisme majeur, et de René Girard , exposant la valeur sacrificielle du passage à l'acte, permet de fonder une hypothèse explicative et circulaire du passage à l'acte suicidaire.

[...]
Les hypothèses actuelles ne parviennent pas à proposer d'explications cohérentes et pertinentes aux larges variations de prévalence entre différents pays pourtant proches sur un plan culturel, social et de développement économique. Les hypothèses explicatives des passages à l'acte suicidaires et de leur prévention reposent principalement sur des modèles théoriques.


L'hypothèse systémique :
[...]
 
La rivalité relationnelle (enjeu de contrôle ou de pouvoir) peut mener à des sentiments de frustration affective, de trahison, parfois non élaborés, et reposant sur des éléments dont la valeur objective (contenu du discours) n'ont pas de rapport évident avec l'intensité de la douleur affective. Cette escalade peut mener à une crise, marquée par la violence (implicite ou explicite) et l'émergence ou l'acutisation de symptômes psychiatriques.
 
Ces symptômes ont, dans l'approche systèmique, une fonction visant à déséquilibrer la rivalité relationnelle en faveur du patient, au prix d'une souffrance psychique et de ses conséquences.
 
Le débordement des capacités du sujet à réguler ces tensions contextuelles en situation de crise fonde le risque de passage à l'acte suicidaire, vu comme la seule alternative pour mettre fin à l'escalade. La présence de troubles de l'intentionnalité de soi même ou d'autrui (notamment dans les psychoses schizophréniques et les dépressions sévères), la prise de toxiques, l'incapacité à élaborer des solutions alternatives sont des facteurs de risque majeurs de passage à l'acte.
 
Ainsi, la fonction d'un passage à l'acte suicidaire peut être présentée comme une expulsion du suicidant d'un contexte de rivalité, et de recueillir, au prix d'une confrontation à la mort ou de la mort, une position dans laquelle les sentiments de frustration et de colère seront apaisés"
 
 
 
Bon, une fois la cause identifiée, où est le remède ?
 
L'acte psycho-magique Jodorowskien convoquant l'inconscient ?
La réimplantation dans un milieu dénué de toxicité sociale ?
Dans les sociétés ancéstrales, havre thérapeutique paradoxal du primitif secourant l'évolué ...?
 

samedi 14 novembre 2009

"Les mots sont des fenêtres"


Bon sang, je n'ai pas lu cette oeuvre fondamentale ! vite !


"La plupart d'entre nous avons été éduqués dans un esprit de compétition, de jugement, d'exigence et de pensée de ce qui est bon ou mauvais . Au mieux, ces conditionnements peuvent conduire à une mauvaise compréhension des autres, au pire, ils provoquent colère ou frustration, et peuvent conduire à la violence. Une communication de qualité entre soi et les autres est aujourd'hui une des compétences les plus précieuses. Par un processus en quatre points, Marshall Rosenberg met ici à notre disposition un outil très simple dans son principe, mais extrêmement puissant, pour améliorer radicalement et rendre vraiment authentique notre relation aux autres. Grâce à des histoires, des exemples et des dialogues simples, ce livre nous apprend principalement : à manifester une compréhension respectueuse à tout message reçu, à briser les schémas de pensée qui mènent à la colère et à la déprime, à dire ce que nous désirons sans susciter d'hostilité, à communiquer en utilisant le pouvoir guérisseur de l'empathie. Bien plus qu'un processus, c'est un chemin de liberté, de cohérence et de lucidité qui nous est ici proposé. Cette nouvelle édition est entièrement mise à jour, enrichie de nouveaux cas, d'un chapitre inédit sur la relation compassionnelle à soi-même et d'une préface d'Arun Gandhi, petit-fils du Mahatma Gandhi."


A propos de l'auteur :

Marshall B. Rosenberg, formé à la psychothérapie psychanalytique, puis élève de Cari Rogers, docteur en psychologie clinique, est le fondateur et le directeur de la formation du Center for NonViolent Communication, une organisation internationale. Il voyage dans le monde entier pour intervenir en tant que médiateur dans les conflits et promouvoir la paix.



Mes ancêtres...


1) Bon anniversaire à mon ancêtre Henri de Monfreid !

Biographie :  Henry de Monfreid, né le 14 novembre 1879 à La Franqui, commune de Leucate, (Aude) et mort le 13 décembre 1974 à Ingrandes, (Indre) était un aventurier et écrivain français.



Henry[1] de Monfreid était le fils de Daniel de Monfreid, peintre et graveur, et d'Amélie diteMarie-Émilie Bertrand. En 1913, il se marie avec une allemande, Armgart Freudenfeld, dont il aura trois enfants. Elle aura une grande influence sur son œuvre d'écrivain.

Il a bien connu le peintre Paul Gauguin, ami intime de son père à partir de 1887 et se lie d'amitié avec le Père Teilhard de Chardin, rencontré en 1926 sur l'Ankor entre Marseille et Djibouti.

Il tira de ses aventures dans la mer Rouge et la Corne de l'Afrique des romans et nouvelles.





Il part en 1911 pour Djibouti, alors possession française, faire le négoce du café et de peau. Il construit lui-même ses boutres, dont le plus célèbre, l'Altaïr, et fréquente les côtes de la mer Rouge. Sa connaissance des mouillages et des ports en fait une source de renseignements utile à la France pendant la Première Guerre mondiale. Il rejoindra plus tard l'organisation des Croix-de-feu.





Il entame ensuite une vie de contrebandier, se convertit à l'islam, religion de son équipage et prend le nom d'Abd el Haï (esclave du vivant). Il vit de différents trafics, perles, armes, haschisch, qui lui valent plusieurs séjours en prison, ce qui ne l'empêche pas de faire assez de bénéfices pour acheter une minoterie et construire une centrale électrique.





Il fit également la connaissance de Paul Vaillant-CouturierJoseph Kessel, tous fascinés par sa personnalité. Kessel lui conseille d'écrire ses aventures. Ses romans remportent un franc succès dans les années 1930. Il est également correspondant de presse.





Pendant la Seconde Guerre mondiale, il sert les Italiens et, capturé par les Britanniques, il est déporté au Kenya. Libéré, il vit de chasse et de pêche sur les pentes du Mont Kenya.








Craignant l'Epuration, Monfreid ne se décide à retourner en France qu'en 1947 et s'installe, loin de la mer, dans le Berry, où il ne cesse d'écrire et de peindre. C'est dans son sommeil, à 95 ans, que ce forban. peintre, écrivain, pëcheur de perles, contrebandier qui a longtemps rèvé à Rimbaud. " cet autre fou ", s'éteint. Il laisse à la postérité plus de 70 ouvrages, inspirés de ses périples fantasques, marqués par le goût de l'action et la violence de l'aventure à travers l'Afrique abyssine.




"J'embarque le dernier, j'abandonne l'épave ! ...
Rien ne pourra dire l'angoisse poignante et le déchirement de cet abandon ! La barque s'éloigne ...

Ce n'est rien de périr avec son bateau, je le comprends clairement dans cette minute déchirante et je pense au vieux capitaine qui a préféré aller par le fond que de laisser son bateau s'engloutir seul.

Je fais dégager les mâts, les vergues et tout le gréement qui pourra servir, car j'ai repris mon courage dans la volonté de reconstruire un autre bateau.
Quand l'adversité nous frappe, il faut résolument tourner le dos au passé, garder seulement le souvenir de la leçon que toujours il comporte et qu'un but nouveau devienne le seul objectif.
L'espoir est un genre de vie, les regrets ne sont que des cendres !" (Extrait des "Secrets de la Mer Rouge")





Plus de détails sur sa biographie.



Certains le comparent de nos jours à notre cher aventurier / artiste Gérard Manset,
dont les chansons dont  "Mer rouge" justement sur Monfreid ! (cliquer ici pour l'écouter)
ne nous quittent plus...

Annexes en video1, video2, video3, video4,
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2) et Gabriel Fauré (biographie) (enfin, c'est sa grande soeur qui est mon arrière, ... arrière grand mère...)



Fauré N°1 : Le maître de la mélodie française


"Gabriel Fauré, ayant eu la mauvaise idée d'être contemporain de Debussy et Ravel, a quelque peu souffert auprès de la postérité de l'ombrage de ces grands musiciens plus "révolutionnaires" que lui. On l'a injustement qualifié de musicien mineur alors qu'il est un des plus grands. Comme on peut le constater facilement en parcourant les maigres bacs des disquaires, on a surtout retenu de lui le célèbre Requiem, dont le planant "In Paradisium" reste un des sommets de la musique française et de la musique tout court.

Mais le vaste répertoire des Mélodies est resté assez confidentiel et c'est pourtant par là qu'on doit commencer pour s'initier à son oeuvre. Ce répertoire est très abordable et quand on l'a un tant soit peu pratiqué, on doit reconnaître que Fauré s'impose comme le maître de la Mélodie française, un genre dans lequel ni Debussy ni Ravel ne l'ont égalé.

La Mélodie française, ce n'est pas de la chansonnette ! C'est un genre musical aussi sérieux que le Lied allemand, bien que d'un esprit totalement différent.

Les mélodies les plus sublimes résultent d'une parfaite fusion de la musique et la poésie. Un genre particulièrement difficile car la poésie est déjà musique, et il est toujours risqué de vouloir y superposer une autre musique..."

Quelques moments de grace musicale :

le sublime et bien connu "Pavanne"
le requiem, ou encore Après un rêve



Biographie détaillée

ou encore une autre biographie


son père, Toussaint, mon ancêtre.

jeudi 5 novembre 2009

Livre "Bidoche, l'industrie de la viande menace le monde"

Un livre à méditer : "Bidoche"


Au lieu de chercher une infinie croissance pour résorber nos déficits, mieux vaudrait optimiser notre mode de consommation. En rationalisant nos ressources, ca veut dire plus d'efficacité, d'économies et d'épanouissement.

La viande c'est par exemple :
- de la souffrance animale,
- des gachis de céréales et de l'eau gaspillée,
- des vaccins de masse,
- des pesticides, engrais et OGM,
- de la pollution et des nitrates rendant l'eau non potable, sans compter les algues qui étouffent la mer,
- du pétrole dilapidé,
- des maladies liées aux excès de protéines et de gras,
- du pouvoir d'achat en moins, donc du travail en trop, au dépend de l'éducation familiale, culturelle et intellectuelle.

Donnons l'exemple autour de nous.
Mon dernier mamifère date de 1985... ;-)

http://bidoche-lelivre.com/